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If you want to know how it feels to be sleepless in Tel-Aviv, you should watch Ran Slavin’s new feature film.

I initially met Ran through Jan Rohlf, curator of the Club Transmediale.

Beaucoup de gens dans le monde francophone ignorent l’existence de la boîte «The Voyager Company», créée par Bob Stein et sa femme dans les années 80 à New York. Ils ont révolutionné le monde du multimédia, en publiant des CD-ROMs visionnaires très proches de l’hyperlivre de par leur forme éditoriale. Tufte a étudié un des premiers CD-ROMs de Voyager dans l’un de ses ouvrages comme une étude de cas. Ce qui est moins connu, c’est les raisons pour lesquelles la boîte a cessé ses activités. Un article très intéressant de Wired revient là-dessus, et montre le lien entre le divorce de Bob et Aleen (les fondateurs) et la perennité de leur entreprise, finalement très familiale.

When the final credit sequence in a film is often boring and just informative, these guys have managed to create a credit sequence where there is an interaction between the main character in the film and the titles…

In the near future, we will be able to augment our sense of vision with the use of AR-enabled contact lenses…

More about this subject soon…

Les Rencontres Internationales de Genève ont pour thème cette année l’avenir de la pauvreté.

A quoi ressembleront les Pauvres du XXIème siècle ?

One possible future for editing tool machines is the one imagined by John Underkoffler, a MIT Media Lab graduate. He recently showcased his invention at Sundance.

Redland, premier long métrage du réalisateur Asiel Norton, a été montré en août à Montréal au Festival des Films du Monde…

Il se passe durant la grande dépression des années 1930 aux Etats-Unis.

I had the chance to work with Ace Norton (Asiel’s brother) and Toben Seymour (who stars in the film) in Los Angeles on several music video shoots, as part of their collective «Commondeer». We had an article in the August 2007 issue of American Cinematographer for a music video we did for The Willowz, on the song «Jubilee».

Il y a une révolution en cours depuis plusieurs années dans le domaine des droits d’auteur à l’ère de la distribution numérique. Celle-ci est menée par des mouvements comme le Creative Commons (Lawrence Lessing) et des organisations comme la Electronic Frontier Foundation (John Perry Barlow) – tous deux basés en Californie et qui ont comme mission de défendre la liberté de parole et les droits des individus dans la sphère numérique. Je pointerai ici vers un article intéressant intitulé la “mort du copyright” qui parle des nouveaux modèles d’affaire et explique notamment comment des logiciels comme Firefox obtiennent des revenus : Ce navigateur fait partie de la chaîne de valeur qui lie un utilisateur à des annonceurs. Lorsqu’un utilisateur arrive sur une page de publicité, le prix de cette publicité est rétrocédé aux différents intermédiaires qui ont rendu possible cette rencontre, dont, en premier lieu, le navigateur et ses barres de recherche.

Voilà le pavillon, énorme sculpture de bois de trois étages, que sont en train de bâtir Sophie et Bertrand dans le jardin de la Fondation Bullukian, à Lyon, place Bellecour.

Ce pavillon qui ressemble étrangement au grand bonhomme de bois qu’on trouve au coeur de Black Rock City, la ville temporaire qu’on construit chaque année dans un lac asséché du désert du Nevada, pour le festival Burning Man.

Cette structure va accueillir des concerts, des barbecues, des performances, des screenings et autres réjouissances, lors de la prochaine Biennale d’art contemporain de Lyon, intitulée «Le spectacle du quotidien».

A suivre !

C’est le nom pour le moins intriguant d’un projet qui se déroule actuellement jusqu’en 2011, à l’Institut d’Art Contemporain, à Lyon (à 5 minutes de la gare Part-Dieu).

Un nouveau genre d’exposition participatif et immersif, où le visiteur – considéré comme un chercheur et non plus comme un contemplateur – est invité à découvrir des artistes qui travaillent sur l’abstraction du son (musique concrète) et de l’image en mouvement (art vidéo), à travers des enregistrements sonores, des DVDs, des revues de presse, des livres.

La station 1 présente notamment la Dream Machine, construite par l’écrivain Brion Gysin, ami de William Burroughs et inventeur du cut-up, dans les années 1960. Cette machine ressemble à un «precinematic device» tel le praxinoscope, à la différence qu’elle ne présente pas une séquence d’images animées, mais plutôt un flux modulé de lumière. Il faut s’approcher les yeux fermés, et attendre les hallucinations visuelles.

La station 1 s’est terminée aujourd’hui. Mais rendez-vous à la fin de l’année pour la station 2 !